Éliminer 7 maladies négligées qui affectent les plus pauvres du monde d'ici 2020

Éliminer 7 maladies négligées qui affectent les plus pauvres du monde d'ici 2020

Blocs de contenu du modèle G
Sous-éditeur

Le Huffington Post souligne la nécessité du déparasitage et son impact pour attirer l'attention sur une série de problèmes qui devraient être abordés lors du sommet du G8. Un extrait:

La plupart des gens n'ont jamais entendu parler de l'éléphantiasis, de la cécité des rivières, de la fièvre de l'escargot, du trachome, de l'ankylostome, du trichocéphale ou du ver rond. Ces sept infections parasitaires et bactériennes impact une personne sur six dans le monde, comme un demi-milliard d'enfants. Sans traitement, les MTN peuvent entraîner l'anémie, la malnutrition, la cécité et d'autres handicaps physiques et cognitifs graves, perpétuant un cycle de pauvreté qui se poursuit de génération en génération.

L'histoire d'une fille du Bihar, en Inde, représente une expérience partagée par des centaines de millions d'autres enfants dans le monde. Jyoti, XNUMX ans, a récemment combattu une infection à MTN qui a rempli son corps de vers intestinaux, lui faisant subir de terribles épisodes de nausées, de vomissements et de diarrhée. Elle s'est affaiblie et chaque fois qu'elle a essayé de manger, elle avait l'impression qu'elle ne pouvait pas avaler de nourriture. Et même si elle était une excellente élève, Jyoti manquait d'énergie pour bien performer à l'école.

Heureusement pour les enfants comme Jyoti, la solution à ces maladies est à portée de main. Un simple paquet de pilules, offert par les sociétés pharmaceutiques, peut être utilisé pour traiter et prévenir l'infection par les sept MTN pendant une année entière. Les programmes de traitement sont si simples que des bénévoles, des agents de santé communautaires et même des enseignants peuvent les administrer, ce qui porte le coût annuel de la prévention des MTN à environ 50 cents par personne et en fait l'un des programmes de santé publique les plus rentables à ce jour.

Pour lire l'article complet, cliquez ici.

15 mai 2012