ECR : le contrecoup

ECR : le contrecoup

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L'attention des médias autour de la sortie de Plus que de bonnes intentions ainsi que Mauvaise économie a conduit à quelques critiques des ECR surgissant autour des interwebs :

Qu'est-ce que c'est, vous voulez une liste de réfutation définitive pratique en 5 points ? Chose sûre;

  1. ECR ne peut pas répondre à chaque question. Personne n'a jamais dit ça. 
  2. Cela dit, il y a probablement plus de questions qu'ils vous réponse que vous ne le pensiez initialement. 
  3. Parmi l'ensemble des questions auxquelles ils peuvent répondre, ils sont probablement le meilleur manière d'y répondre. Cela ne devrait pas être une affirmation trop controversée. 
  4. Des milliards de dollars, et probablement la grande majorité des dépenses d'aide, sont encore consacrés à des projets qui ont ne sauraient été rigoureusement évalué. Nous ne sommes donc pas encore tout à fait en mesure de nous inquiéter d'une sur-élimination. 
  5. Oui, nous devons faire attention à extrapolation et généralisation. Mais cela s'applique également à d'autres sources de preuves, et n'est pas un argument contre le fait de s'appuyer sur les preuves dans toute la mesure du possible, ou de générer autant de nouvelles preuves que ce qui est rentable.

Mises à jour:

Tom Murphy vient de m'envoyer des remarques sur "l'engouement pour l'évaluation" par Jonathan C. Lewis à la conférence Microfinance USA

Denis Whittle dit que nous devons "faire du bénéficiaire le roi". 

Sasha Dichter déplore l'extrapolation de trop peu d'études.

Ian Thorpe suggère que les ECR traversent un "cycle de battage médiatique" familier.

Ajoutez tous les autres liens que nous avons peut-être manqués ici.

31 mai 2011