Du 10 au 14 juillet, l'IPA et J-PAL Africa ont organisé une formation de cinq jours sur l'évaluation des programmes sociaux visant à fournir une compréhension approfondie des évaluations aléatoires et une formation pragmatique étape par étape pour mener sa propre évaluation. Certains des sujets abordés comprenaient les avantages et les méthodes de randomisation, le choix d'une taille d'échantillon appropriée, ainsi que les menaces et les pièges courants à la validité des expériences.

Le cours Executive Education a réuni des chercheurs, des décideurs politiques, des donateurs et des défenseurs des données probantes et des politiques fondées sur des données probantes du monde entier. Parmi les organisations présentes figuraient : Evidence Action, Ghana Education Services, UNICEF, Young Love, Ethiopian Development Research Institute, Kenya Revenue Authority, entre autres.

Le premier jour, Laura Poswell, directrice exécutive de J-PAL pour l'Afrique, et Suleiman Asman, directeur national de l'IPA-Kenya, ont accueilli les participants et donné un aperçu des organisations respectives et de leur champ d'activité. Les tables rondes étaient composées d'experts en recherche qui ont guidé les participants à travers les ECR. Lorenzo Casaburi, professeur adjoint d'économie du développement à l'Université de Zurich, a expliqué comment mesurer l'impact et comment randomiser, tandis qu'Edward Miguel, professeur Oxfam d'économie de l'environnement et des ressources à l'Université de Californie, a expliqué aux participants le processus du début à la fin du projet. . Suleiman a présenté les menaces et l'analyse des ECR.

Deux des RA de l'IPA-K, John Mungai et Martin Gitahi, ont servi d'assistants pédagogiques pour la formation, guidant les participants à travers des exercices de travail en groupe.