L'Agence d'information du Burkina interviewe Estelle Plat, directrice nationale de l'IPA au Burkina Faso et au Mali. Elle a expliqué les conclusions de l'IPA selon lesquelles le simple fait de changer le moment où les agriculteurs se voient offrir la possibilité d'acheter des semences et des engrais peut faire la différence : « Si nous abordons les producteurs lorsqu'ils ont des liquidités en main [juste après la récolte précédente], ils sont en mesure de payer les intrants et de les investir. Cela a beaucoup plus d'impact que les prix subventionnés. Les résultats soulignent la nécessité pour tous les acteurs du secteur - producteurs, ONG, gouvernement - de travailler ensemble afin d'éviter les pertes de temps, d'efforts et d'argent.

L'Agence d'Information du Burkina interviewe Estelle Plat, Directrice Pays IPA Burkina Faso et Mali. Elle explique que les résultats trouvés par IPA ont créé que changer le moment où l'on offre l'opportunité aux agriculteurs d'acheter des semences et des engrais peut faire la différence : « Si nous approchons les producteurs au moment où ils ont la liquidité en principal, ils sont en mesure de payer les intrants et les investir. Ca a beaucoup plus d'impact que les prix subventionnés». Cela soulève la nécessité pour tous les acteurs (producteurs, ONG, Gouvernement) d'œuvrer à une synergie d'actions pour éviter les pertes de temps, d'efforts et d'argent.