Nous avons travaillé avec deux microprêteurs pour tester les impacts des rappels aléatoires pour les remboursements de prêts dans la « capitale mondiale de la messagerie texte ». Nous ne trouvons pas de preuves solides indiquant que le cadrage des pertes par rapport aux gains ou le moment de la messagerie importent. Les messages n'améliorent fortement le remboursement que lorsqu'ils incluent le nom de l'agent de crédit. Cet effet est valable pour les clients précédemment desservis par l'agent de crédit, mais pas pour les nouveaux emprunteurs. Pris ensemble, les résultats mettent en évidence le potentiel et les limites des technologies de communication pour atténuer l'aléa moral, et suggèrent que l'obligation personnelle/réciprocité entre les emprunteurs et les employés de banque peut être exploitée pour aider à surmonter les défaillances du marché.